A pas de loup
Lorsque Rosalie, Philippe et leur petit Martin, âgé de six mois, décident de s’installer à La Barberie, un éco-hameau niché en plein cœur des Alpes-de-Haute-Provence, c’est bien pour fuir un quotidien devenu trop pesant. Pour tenter une expérience audacieuse. Vivre autrement. En communion avec la terre et en harmonie avec les saisons.
Mais l’équilibre de cette nouvelle vie va un jour se fissurer. Un grain de sable va s’infiltrer, déstabiliser et enrayer cette belle mécanique.
Et ce très beau rêve va se transformer peu à peu en un véritable cauchemar..
Votre pire cauchemar…
Lorsque Rosalie, Philippe et leur petit Martin, âgé de six mois, décident de s'installer à La Barberie, un éco-hameau niché en plein cœur des Alpes-de-Haute-Provence, c'est bien pour fuir un quotidien devenu trop pesant. Pour tenter une expérience audacieuse. Vivre autrement. En communion avec la terre et en harmonie avec les saisons.
Mais l'équilibre de cette nouvelle vie va un jour se fissurer. Un grain de sable va s'infiltrer, déstabiliser et enrayer cette belle mécanique.
Et ce très beau rêve va se transformer peu à peu en un véritable cauchemar..
Votre pire cauchemar...
Mon commentaire :
J’apprécie beaucoup les romans d’Isabelle Villain, mais celui-ci se hisse clairement au-dessus du lot. Je l’ai trouvé d’une puissance presque cinématographique : j’avais vraiment l’impression de me balader dans ce hameau et ses alentours. La thématique est passionnante, autour de cette communauté de néo-ruraux qui, sous des airs sympathiques, glisse peu à peu vers une dérive sectaire. C’est à la fois juste, inquiétant et remarquablement bien décrit.
Le portrait psychologique de Rosalie est d’une grande précision, ce qui rend son personnage à la fois troublant et fascinant. L’intrigue, quant à elle, ne cesse de surprendre : les rebondissements s’enchaînent et nous entraînent vers un final aussi inattendu qu’angoissant, qui laisse songeur sur l’avenir.
Et puis, la note de l’auteure en fin d’ouvrage vient ajouter une dimension supplémentaire : on réalise que parfois la réalité dépasse la fiction…
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