Une gentille gamine (16)
Cléïa, seize ans, élève modèle au lycée Gradlon à Quimper, est brillante, polie, et sans histoire. Une « gentille gamine », comme tout le monde le dit. Jusqu’au jour où un message sur son téléphone fait voler son monde en éclats. Quelques semaines plus tard, elle meurt écrasée sous les roues d’un poids lourd. Accident ? Suicide ? Meurtre ? Pour sa mère, aucune hésitation : on a tué Cléïa. Lorsque Vanessa et Élodie demandent à Léanne de se pencher sur l’affaire, elles découvrent l’envers du décor: la brutalité des réseaux sociaux, la cruauté de la meute invisible qui traque ses proies derrière les écrans et l’ampleur de ce phénomène destructeur. Entre manipulations, faux-semblants et vies brisées, Pierre Pouchairet signe un roman d’une brûlante actualité, mettant en lumière les dérives les plus violentes du numérique et du harcèlement scolaire.
Mon commentaire :
Quelle joie de retrouver mes amies, les trois Brestoises, qui se trouvent cette fois confrontées à un thème d’actualité brûlant : le harcèlement scolaire à travers les réseaux sociaux ! Ce roman se lit avec plaisir : un rythme soutenu, des rebondissements inattendus, de fausses pistes… tous les ingrédients d’un polar classique.
J’ai particulièrement apprécié l’apparition de Mary Lester, ainsi que le clin d’œil à Jean Failler et Pierre Pouchairet.
Pour aller plus loin, j’aurais aimé découvrir, en fin d’ouvrage, un petit dossier sur les nouvelles technologies inquiétantes, comme la prise de contrôle d’un ordinateur par un hackeur. Cela aurait ajouté une dimension informative et réaliste à l’intrigue.








Avis
Il n’y a pas encore d’avis.