Pars vite et reviens tard (3)

★★★★✩ (4/5)

On l’a peint soigneusement sur les treize portes d’un immeuble, dans le 18e arrondissement de Paris : un grand 4 noir, inversé, à la base élargie. En dessous, trois lettres : CLT. Le commissaire Adamsberg les photographie, et hésite : simple graffiti, ou menace ?

À l’autre bout de la ville, Joss, l’ancien marin breton devenu crieur de nouvelles est perplexe. Depuis trois semaines, une main glisse à la nuit d’incompréhensibles missives dans sa boîte à messages. Un amuseur ? Un cinglé ? Son ancêtre murmure à son oreille : "Fais gaffe à toi, Joss. Il n’y a pas que du beau dans la tête de l’homme."

Mon commentaire :

Cette histoire typique de Fred Vargas mèle suspense, fausse piste et une atmosphère poétique et angoissante et bien nentendu Adamsberg.

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