Endorphine (2)

★★★★✩ (4.4/5)

En ce mois d’avril radieux, le commandant Henri Saint-Donat est non seulement aux prises avec les démons de son passé, mais aussi avec des monstres bien réels.
Entre Marseille et Toulouse, son groupe de la Crim’ est confronté à un vaste réseau de proxénétisme qui sème les cadavres. Saint-Donat cependant est envoyé par sa supérieure à des milliers de kilomètres de là, au Québec, pour assister à un colloque de l’IPA, l’International Police Association, mais surtout pour faire la paix avec lui-même.
Par moins douze degrés, Saint-Donat en vient à se demander si après tant d’années de lutte contre le crime, ce rocher de Sisyphe ne serait pas trop lourd à porter. Mais il est rattrapé du jour au lendemain par son instinct de flic quand son plus proche collaborateur est enlevé et n’a plus que quelques heures à vivre.
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En ce mois d’avril radieux, le commandant Henri Saint-Donat est non seulement aux prises avec les démons de son passé, mais aussi avec des monstres bien réels.
Entre Marseille et Toulouse, son groupe de la Crim’ est confronté à un vaste réseau de proxénétisme qui sème les cadavres. Saint-Donat cependant est envoyé par sa supérieure à des milliers de kilomètres de là, au Québec, pour assister à un colloque de l’IPA, l’International Police Association, mais surtout pour faire la paix avec lui-même.
Par moins douze degrés, Saint-Donat en vient à se demander si après tant d’années de lutte contre le crime, ce rocher de Sisyphe ne serait pas trop lourd à porter. Mais il est rattrapé du jour au lendemain par son instinct de flic quand son plus proche collaborateur est enlevé et n’a plus que quelques heures à vivre.

Mon commentaire :

J’ai adoré ce roman, qui se lit presque comme un film tant les descriptions sont précises et les actions saisissantes. La deuxième partie, avec l’enlèvement, est haletante : on se sent pris dans une atmosphère oppressante, comme embarqué dans une véritable course contre la montre. Et puis il y a ce commandant, un personnage profondément attachant, cabossé par la vie, mais décrit avec une telle finesse qu’on ne peut que s’y attacher davantage.

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