L’empathie (2)

★★★★✩ (4/5)

Plusieurs années après l’affaire Alpha, c’est dans une unité toujours traumatisée que Margot Tréabol rencontre le commandant Euvrard pour intégrer le 2e district de police judiciaire, la « brigade du viol ».
Accompagnée de son collègue Théo, Margot mènera l’enquête dans le milieu des discothèques, où un prédateur pique des jeunes femmes avec des seringues remplies de GHB, avant d’abuser d’elles.
Parallèlement à cette traque, Serflex, un violeur en série qui sévissait par cycles depuis vingt-cinq ans, réapparaît. Son mode opératoire : écrire à ses futures victimes pour les prévenir qu’un jour il s’en prendra à elles. Dans un mois ? Un an ? Dix ? Afin de les plonger dans la terreur ; dans une torture psychologique, avant la potentielle torture physique.
Pour les forces de police, ce monstre demeure un mystère. Y compris pour un ancien flic, ayant autrefois travaillé sur ce dossier : Anthony Rauch.

Plusieurs années après l’affaire Alpha, c’est dans une unité toujours traumatisée que Margot Tréabol rencontre le commandant Euvrard pour intégrer le 2e district de police judiciaire, la « brigade du viol ».
Accompagnée de son collègue Théo, Margot mènera l'enquête dans le milieu des discothèques, où un prédateur pique des jeunes femmes avec des seringues remplies de GHB, avant d’abuser d’elles.
Parallèlement à cette traque, Serflex, un violeur en série qui sévissait par cycles depuis vingt-cinq ans, réapparaît. Son mode opératoire : écrire à ses futures victimes pour les prévenir qu’un jour il s’en prendra à elles. Dans un mois ? Un an ? Dix ? Afin de les plonger dans la terreur ; dans une torture psychologique, avant la potentielle torture physique.
Pour les forces de police, ce monstre demeure un mystère. Y compris pour un ancien flic, ayant autrefois travaillé sur ce dossier : Anthony Rauch.

Mon commentaire :

J’ai trouvé que ce deuxième tome confirme le talent d’Antoine Renand pour construire un thriller haletant. Les personnages sont fouillés, humains jusque dans leurs failles, ce qui les rend crédibles et attachants. Leurs traumatismes passés pèsent encore sur leurs choix.

Face à eux, l’antagoniste – Serflex – est un méchant marquant : intelligent, machiavélique, sadique, mais fascinant dans son fonctionnement. Chaque fois qu’il entre en scène, la tension monte d’un cran et on lit avec une boule au ventre.

Cependant, on sent que ce tome reprend la même mécanique que le premier.  De plus, les rappels au tome 1 sont fréquents, mais il faut mieux l’avoir lu pour s’imprégner de l’histoire. La fin laisse peut-être présager un tome 3

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