Le pont du diable (7)
Ils étaient jeunes, ils rêvaient de paix et de sécurité quand ils ont quitté Kaboul pour Dublin. Après de nombreuses péripéties, alors qu’ils touchaient au but, leur route s’est brutalement arrêtée en Nord-Finistère, dans le Pays des Abers. Aidées par Nasrat, un gamin de douze ans, unique rescapé du drame, la commandant Léanne Vallauri et toute son équipe de la P.J. de Brest vont devoir identifier les auteurs d’un horrible crime.
Ils étaient jeunes, ils rêvaient de paix et de sécurité quand ils ont quitté Kaboul pour Dublin. Après de nombreuses péripéties, alors qu'ils touchaient au but, leur route s'est brutalement arrêtée en Nord-Finistère, dans le Pays des Abers. Aidées par Nasrat, un gamin de douze ans, unique rescapé du drame, la commandant Léanne Vallauri et toute son équipe de la P.J. de Brest vont devoir identifier les auteurs d'un horrible crime.
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Nous retrouvons l’énergie des « Trois Brestoises » : une policière, une médecin légiste et une psychologue, ancienne militaire. Trois amies d’enfance, soudées par une passion commune… le rock. Oui, elles ont même monté un groupe !
Dans cet épisode, un jeune Afghan, Nasrat, survivant de ce camion frigorifique de la mort, rejoint en quelque sorte leur équipe. Débrouillard et espiègle, comme les Trois Brestoises, je l’ai adopté tout de suite.
L’intrigue, qui nous entraîne jusqu’en Afghanistan, sonne juste et vivante, d’autant que Pierre Pouchairet connaît le terrain : il y a travaillé comme policier.
J’ai beaucoup aimé cet épisode, qui apporte une profondeur et une intensité supplémentaires à cette série déjà si attachante.
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