L’ile du diable (3)
Le corps recouvert d'une étrange poudre blanche…
Des extrémités gangrenées…
Un visage figé dans un rictus de douleur…
En observant le cadavre de son père, Sarah Geringën est saisie d'épouvante. Et quand le médecin légiste lui tend la clé retrouvée au fond de son estomac, l'effroi la paralyse.
Et si son père n'était pas l'homme qu'il prétendait être ?
Des forêts obscures de Norvège aux plaines glaciales de Sibérie, l'ex-inspectrice des forces spéciales s'apprête à affronter un secret de famille terrifiant.
Que découvrira-t-elle dans ce vieux manoir perdu dans les bois ?
Osera-t-elle se rendre jusqu'à l'île du Diable ?
Mon commentaire :
Je viens de terminer "L’Île du Diable", et je dois dire que Nicolas Beuglet a encore frappé fort ! Dès les premières pages, j’ai été happé par l’ambiance glaçante et le mystère qui entoure la mort du père de Sarah Geringën. L’auteur a le don de mêler suspense et émotion, et cette fois, il a vraiment poussé les limites : entre l’enquête policière, les révélations sur le passé familial de Sarah et l’horreur historique de l’île de Nazino, j’ai été tenu en haleine jusqu’à la dernière page.
Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est la façon dont Beuglet s’inspire de faits réels pour construire son intrigue. Découvrir l’existence de cette île maudite, où des milliers de déportés ont été abandonnés à leur sort, a ajouté une dimension poignante et terrifiante au roman. Sarah, avec ses doutes et ses combats intérieurs, est un personnage profondément humain, et son évolution tout au long de la trilogie est vraiment bien menée.
En résumé, si vous aimez les thrillers qui vous glacent le sang tout en vous faisant réfléchir, "L’Île du Diable" est fait pour vous.
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