Automne 1830, dans un Paris fiévreux encore sous le choc des Journées révolutionnaires de juillet, le gouvernement de Louis-Philippe, nouveau roi des Français, tente de juguler une opposition divisée mais virulente.
Valentin Verne, jeune inspecteur du service des moeurs, est muté à la brigade de Sûreté fondée quelques années plus tôt par le fameux Vidocq. Il doit élucider une série de morts étranges susceptible de déstabiliser le régime.
Car la science qui progresse, mêlée à l'ésotérisme alors en vogue, inspire un nouveau type de criminalité. Féru de chimie et de médecine, cultivant un goût pour le mystérieux et l'irrationnel, Valentin Verne sait en décrypter les codes. Nommé par le préfet à la tête du « bureau des affaires occultes », un service spécial chargé de traquer ces malfaiteurs modernes, il va donner la preuve de ses extraordinaires compétences.
Mais qui est vraiment ce policier solitaire, obsédé par la traque d'un criminel insaisissable connu sous le seul surnom du Vicaire ?
Qui se cache derrière ce visage angélique où perce parfois une férocité déroutante ?
Qui est le chasseur, qui est le gibier ?
Dans la lignée des grands détectives de l'Histoire, de Vidocq à Lecoq en passant par Nicolas le Floch, un nouveau héros est né.

Mon commentaire :

Éric Fouassier recrée avec brio le Paris de la fin du XIXᵉ siècle. On a véritablement l’impression de déambuler dans ses rues, ce qui rend l’intrigue à la fois vivante et crédible. À travers Valentin Verne, on découvre les prémices de la criminologie et l’émergence des enquêteurs déductifs, dans la lignée de Sherlock Holmes. J’apprécie particulièrement cette série, qui allie mystère ésotérique et rigueur rationnelle. Plus qu’une enquête, c’est un véritable polar d’ambiance.

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