Série : Nuits nantaises

L’arménien (1)

★★★★✩ (4/5)

Nantes, 22 décembre 1989. Le cadavre de Luc Kazian, dit l’Arménien, est retrouvé en forêt de Touffou. Deux balles dans la peau, et partiellement calciné. Assassiné. Mais par qui ? Et qui était vraiment l’Arménien ? Un trafiquant de cocaïne notoire, comme le pense l’inspecteur Greg Brandt ? Un copain de virées avec qui écumer les bars et draguer les filles, comme le voit Bertrand, son premier et peut-être unique ami ? Un jeune orphelin perturbé, mais à l’esprit vif et éveillé, comme le pense Françoise de Juignain, sa psychiatre depuis 20 ans ? Rien de tout cela, bien plus encore ? De la place Graslin au Château des ducs de Bretagne, des ruelles pavées du quartier Bouffay aux bars à hôtesses du quai de la Fosse, des pavillons de Rezé aux immeubles de Bellevue, Carl Pineau fait revivre dans ce thriller noir toute l’ambiance du Nantes des années 80.

Nantes, 22 décembre 1989. Le cadavre de Luc Kazian, dit l'Arménien, est retrouvé en forêt de Touffou. Deux balles dans la peau, et partiellement calciné. Assassiné. Mais par qui ? Et qui était vraiment l'Arménien ? Un trafiquant de cocaïne notoire, comme le pense l'inspecteur Greg Brandt ? Un copain de virées avec qui écumer les bars et draguer les filles, comme le voit Bertrand, son premier et peut-être unique ami ? Un jeune orphelin perturbé, mais à l'esprit vif et éveillé, comme le pense Françoise de Juignain, sa psychiatre depuis 20 ans ? Rien de tout cela, bien plus encore ? De la place Graslin au Château des ducs de Bretagne, des ruelles pavées du quartier Bouffay aux bars à hôtesses du quai de la Fosse, des pavillons de Rezé aux immeubles de Bellevue, Carl Pineau fait revivre dans ce thriller noir toute l'ambiance du Nantes des années 80.

Mon commentaire :

J’ai découvert L’Arménien de Carl Pineau avec curiosité, et je dois dire que je me suis laissé happer dès les premières pages. Ce n’est pas un polar classique centré uniquement sur une enquête, mais plutôt un récit qui explore les zones d’ombre des personnages. Luc, l’Arménien, m’a particulièrement marqué : insaisissable, fragile, il donne au roman une dimension mélancolique.

J’ai beaucoup aimé la narration à plusieurs voix, qui apporte un rythme et une richesse de points de vue. On entre tour à tour dans la tête de Bertrand, de Françoise et de Brandt, et cela rend l’histoire plus humaine, presque intime. L’évocation du Nantes des années 80 m’a plongé dans une ambiance singulière, à la fois festive et sombre.  La fin, bien amenée, ce que j’apprécie toujours dans un polar.

J’attends la suite de la série avec impatience

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