Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais.

Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais.
Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?
Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?

En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J’ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort.

Mon commentaire :

Pourquoi je lis les romans de Bussi d'une traite ? Eh bien parce qu'au niveau du temps je passe d'une période à l'autre (1999 - 2019), d'un lieu à l'autre (Montréal, Los Angeles, Barcelone, Djakarta) et que je veux savoir comment cela se termine. L'intrigue me plait, c'est efficace. Globalement j'ai bien aimé. Ma note est peut-être un peu basse car je reconnais trop la patte de Bussi. C'est rassurant pour le lecteur mais c'est à la fois un compliment et aussi un avertissement pour l'avenir car il va peut-être lasser une partie de son lectora