Série : Hugo Boloren

Douve (1)

★★★★✩ (4/5)

« Le gamin a Douve dans les veines. » Cette phrase, l’inspecteur Hugo Boloren l’a entendue plusieurs fois lorsqu’il était enfant. Aussi, lorsqu’il apprend qu’un meurtre a eu lieu à Douve, il y voit un signe. Son père est mort, sa mère souffre de la maladie d’Alzheimer ; c’est sa dernière chance de comprendre son lien avec ce village perdu au milieu d’une forêt de sapins.
Tout ce qu’il sait, c’est que son père, policier lui aussi, a été envoyé à Douve il y a quarante ans pour enquêter sur la fuite médiatisée d’un Islandais accusé de meurtre, et que sa mère, journaliste, l’a accompagné pour écrire un livre sur l’affaire. Son arrivée à Douve, village hors du temps auréolé de mystères et de secrets, va signer le début d’une quête de soi autant que de vérité.

« Le gamin a Douve dans les veines. » Cette phrase, l’inspecteur Hugo Boloren l’a entendue plusieurs fois lorsqu’il était enfant. Aussi, lorsqu’il apprend qu’un meurtre a eu lieu à Douve, il y voit un signe. Son père est mort, sa mère souffre de la maladie d’Alzheimer ; c’est sa dernière chance de comprendre son lien avec ce village perdu au milieu d’une forêt de sapins.
Tout ce qu’il sait, c’est que son père, policier lui aussi, a été envoyé à Douve il y a quarante ans pour enquêter sur la fuite médiatisée d’un Islandais accusé de meurtre, et que sa mère, journaliste, l’a accompagné pour écrire un livre sur l’affaire. Son arrivée à Douve, village hors du temps auréolé de mystères et de secrets, va signer le début d’une quête de soi autant que de vérité.

Mon commentaire :

J’ai pris beaucoup de plaisir à lire Terra Nullius et à en découvrir un peu plus sur cet inspecteur atypique, à la fois anti-héros et fin limier, qui avance pas à pas dans ses enquêtes, toujours guidé par sa fameuse “bille”. Il a quelque chose d’un mélange entre Maigret et Columbo, ce qui le rend vraiment attachant.

Ce roman m’a particulièrement marqué parce qu’il remonte à l’enfance du personnage, à une époque où son père menait ses propres enquêtes et où sa mère, journaliste, s’en inspirait pour écrire ses livres. Le leitmotiv des vacances à Douve est superbe : enfant, ses parents disaient de lui qu’il avait “Douve dans les veines”.

L’intrigue prend la forme d’un huis clos dans ce village inquiétant, presque maléfique, où des habitants étranges semblent unis par un secret qu’ils refusent de dévoiler. Certes, il y a quelques longueurs, mais le suspense est tel que la révélation finale, dans les toutes dernières pages, en devient encore plus percutante.

Bref, une série que je trouve absolument géniale !

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “Douve (1)”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez aussi aimer...