Les foudres du Jaudy (2)

★★★✩✩ (3/5)

La Roche-Derrien, 1979
Lasse de n’obtenir que des remplacements, Muriel fait une pause de la gendarmerie. Sur sa moto, elle arrive dans la charmante petite cité de caractère de La Roche-Derrien près de Tréguier en compagnie de Sophie, amie rencontrée aux vendanges, avec laquelle elle est devenue intime. Elle va aider cette dernière, fille d’un ancien négociant en vin, à remettre en état la cave familiale. Alors qu’elle nettoie l’une des cuves, Muriel découvre un squelette. Parmi les gendarmes dépêchés sur les lieux, elle recroise Éric Le Bec, son ennemi favori de Pontrieux. L’affaire est classée en suicide. Un meurtre commis près de la chapelle du Calvaire va tout remettre en question. Aidée d’Éric, dont elle se rapproche, Muriel mène discrètement ses investigations… au risque de se mettre sérieusement en danger.

La Roche-Derrien, 1979
Lasse de n’obtenir que des remplacements, Muriel fait une pause de la gendarmerie. Sur sa moto, elle arrive dans la charmante petite cité de caractère de La Roche-Derrien près de Tréguier en compagnie de Sophie, amie rencontrée aux vendanges, avec laquelle elle est devenue intime. Elle va aider cette dernière, fille d’un ancien négociant en vin, à remettre en état la cave familiale. Alors qu’elle nettoie l’une des cuves, Muriel découvre un squelette. Parmi les gendarmes dépêchés sur les lieux, elle recroise Éric Le Bec, son ennemi favori de Pontrieux. L’affaire est classée en suicide. Un meurtre commis près de la chapelle du Calvaire va tout remettre en question. Aidée d’Éric, dont elle se rapproche, Muriel mène discrètement ses investigations… au risque de se mettre sérieusement en danger.

Mon commentaire :

C’est un polar régionaliste à l’intrigue solide, dans lequel Claire Connan parvient à recréer avec justesse l’atmosphère des années 70. On se retrouve immergé aussi bien dans l’ambiance de l’époque que dans ses particularités locales – les teilleurs de lin, les chiffonniers – qui donnent au récit une authenticité marquante. Comme dans le premier volet, Muriel reste une héroïne attachante, et son duo avec Éric Le Bec fonctionne à merveille : atypique, mais terriblement sympathique.

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