Une : Oma
Deux : Emilia
Trois : Ella
La première, enseignante à Tel-Aviv, vit très mal son récent divorce. Elle fait une fixation quasi obsessionnelle sur son fils de neuf ans, un enfant délicat, mal intégré. Elle fréquente sans vrai désir Guil un avocat rencontré sur un site Web qui ment avec aplomb sur sa situation conjugale. Elle connaît brutalement une fin tragique.
La deuxième, réfugiée lettone parlant à peine l’hébreu, travaille comme auxiliaire de vie. Une pauvre fille solitaire, paumée, mystique. Le fils de son précédent employeur – qui vient de mourir – veut l’aider à trouver du travail. Il s’appelle Guil. Ça ne se termine pas bien non plus.
Survient la troisième, Ella, une femme mariée qui essaie d’écrire sa thèse dans un café où elle se lie avec un homme qui n’est pas inconnu du lecteur…
Né il y a un peu plus de quarante ans à Holon, Dror Mishani enseigne l’histoire du roman policier et la littérature israélienne à l’université de Tel-Aviv, où il vit. Un temps responsable de la rubrique littéraire du Haaretz ainsi qu’éditeur, il occupe une place de premier plan parmi les auteurs israéliens contemporains.
avis :
Le thème du roman : Trois femmes en détresse croisent le même tueur. J'ai trouvé le roman long à démarrer surtout avec le « cas Orna ». Pour Émilia j'ai crié pour la mettre en garde mais elle ne m'a pas entendu. Cela se lit rapidement car l'on veut savoir comment ce pervers se fera prendre. J'ai appris des éléments sur la société israélienne qui m'ont bien intéressé.
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