Tant qu’il y a de l’amour

★★★★★ (5/5)

Suzanne vit avec ses quatre enfants de quatre pères différents, Achille, Jules, Arthur et Mathilde qui ont entre 17 et 6 ans. Ils partagent un quotidien tendre et fantasque, à l’image de leur mère. Liés par un amour indéfectible, ils ont surmonté toutes les épreuves, jusqu’à ce jour de novembre 2015 où tout s’écroule.
Leur histoire rejoint alors celle du monde, et leur amour devient leur seule planche de salut. .

Suzanne vit avec ses quatre enfants de quatre pères différents, Achille, Jules, Arthur et Mathilde qui ont entre 17 et 6 ans. Ils partagent un quotidien tendre et fantasque, à l'image de leur mère. Liés par un amour indéfectible, ils ont surmonté toutes les épreuves, jusqu'à ce jour de novembre 2015 où tout s'écroule.
Leur histoire rejoint alors celle du monde, et leur amour devient leur seule planche de salut. .

Avis :

J’avais déjà été profondément marqué par son premier roman, Rosine, une criminelle ordinaire. J’en garde le souvenir d’un récit sombre, terriblement humain.

Ce nouveau livre est tout aussi noir, peut-être même plus. Mais ce qui me bouleverse ici, c’est ce paradoxe saisissant : dans toute cette misère, cette détresse sociale, les personnages s’aiment, se tiennent, s’accrochent les uns aux autres. Leur solidarité, malgré tout, fend l’obscurité du récit d’une lumière fragile, mais bouleversante.

La fin du roman est bouleversante. Elle laisse planer un trouble profond, brouille volontairement les frontières entre le mal et le bien, entre le bourreau et le martyr. J’en suis ressorti ébranlé.

Avis

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